Une envie dévorante de rejoindre les équipages là ou la température avoisine les moins soixante et où les jetliners se croisent à Mach 0.80.
Lors de mon dernier vol une passagère ma demander de bien vouloir la débarrassée de son plateau repas, et une fois entre les mains j'ai sourit, j'étais comme dans la peau d'un steward l'espace de quelques secondes.
C'est à la base un service, qui à fait parmi ses utilisateurs des amoureux si fidèles, qu'ils n'imaginent pas leurs vies ailleurs qu'à leurs côtés, tel un désir de vouloir se marier avec leur passion, vouloir aller plus loin que l'admiration, crier au monde qu'on les aiment.
Ils possèdent des ailes, des empennages, des réacteurs, un fuselage et pourtant cet ensemble de termes qui peuvent paraitre sans importance laissent place un réel, finalisé sous le nom d'Airbus, Boeing et bien d'autres, eux, les avions, pour qui j'ai désormais réservé, mon capital affectif...
grimaces-de-mel, Posté le samedi 04 octobre 2008 02:33
il et bo